Je 
                        te regarderai, peut-être, un jour,
                        Contempler la Seine,
                        Qui emporte des amours et des peines.
                        Mais où va donc toute cette eau qui coule ?
                        
                        Je te regarderai, peut-être, un jour, 
                        Contempler le Nil, 
                        Qui serpente entre des champs fertiles. 
                        Mais où va donc toute cette eau qui coule ?
                        
                        Je te regarderai, peut-être, un jour, 
                        Contempler le Gange, 
                        Qui immerge tant de gurus étranges. 
                        Mais où va donc toute cette eau qui coule ?
                        
                        Je te regarderai, et, 
                        Dans le fond de tes yeux, 
                        Je verrai...
                        Mais où va donc toute cette eau qui coule ?