Il y avait une rivière à passer, Comme un banc de sable asséché. Il y avait un océan de lianes, Comme des tresses de sultane Il y avait deux collines sur, Une esplanade… clandestine, Et puis je ne sais quel bucher Que l’on s’empresse d’approcher Et, durant ce voyage… Des frémissements, et, Des retournements … Un piolet à planter Où gravir et sombrer… Deux grands yeux pleins de paix Deux fines lèvres sous bosquets Il y avait un cou auquel je me pendais Et des petits genoux que la nature ouvraient… Et dans ton ventre De longes vagues
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